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11 Juin 2011
En bonne pratique subversive, Greenpeace continue de s'attaquer au grand capital. Cette fois c'est Mattel qui est la cible des attaques vertes. Selon
l'organisation militante, la célèbre poupée Barbie serait accro à la déforestation. Pour être emballée dans une jolie boîte, elle sacrifierait les forêts indonésiennes, notamment
des régions abritant les derniers tigres et orangs-outans de Sumatra. Son fabricant Mattel encouragerait cette addiction en s'approvisionnant massivement en papier d'emballage
issus des exploitations forestières. Toujours selon Greenpeace, l'habitat d’espèces sauvages, et des forêts et tourbières riches en carbone, seraient ainsi massacrés pour
fabriquer des conditionnements bon marché, qui atterrissent aussitôt à la poubelle... C'est en mettant Ken en scène que l'organisation écologiste désigne ses coupables et met
encore une fois une grande firme mondiale au pilori. Un film viral qui n'a pas fini de buzzer...
Greenpeace