Quand le premier jour de ma mort commence...

Le premier jour de ma mort commence aujourd’hui.
Il y a 6 mois, jour pour jour, je prenais ma deuxième dose de vaccin, sous les commentaires affolés de certains de mes amis, et sous la sentence réjouie de mes rares ennemis.
« C’est de la folie », me disaient-ils en chœur. « Des études sérieuses confirment le danger mortel du vaccin, et les victimes de la piqûre ne survivront pas. Il ne te reste plus que 6 mois à vivre ! 6 mois à décliner sous l’effet du poison qui détruira tes cellules ; 6 mois à survivre, tout au plus ! »
Comme beaucoup de vaccinés, j’ai enduré ces pronostics étayés par les arguments scientifiques les plus irréfutables, de ceux que l’État tentait bien sûr de garder secrets. Comme beaucoup, j’ai subi les avalanches de vidéos, de rapports chiffrés, d’articles signés par les plus éminentes sommités tenues injustement à l’écart du système. J’ai essuyé les pires avis consolidés par les meilleures preuves Facebookiennes, des preuves qui ne m’offraient plus aucun espoir ! J’ai eu la chance d’être éclairé sur ma fin de vie par la « belle vérité » des alter-médecins, ceux que l’on traitait injustement de complotistes.
Aujourd’hui commence donc le premier jour de ma mort. Un jour heureux car depuis 6 mois j’ai repris le chemin de la vie tranquille, celui des petits restos, des cinémas, des voyages et des amis. Celui que d’autres fakenews tentent de perturber encore, et contre lesquelles je suis totalement immunisé.