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Quand un opticien fait passer des tests de vue sur les affiches de ses concurrents...

Au 1er janvier 2020, les normes de remboursement optique ont changé. Cette loi, dite 100% Santé, a imposé à tous les opticiens de proposer des équipements (verres + montures) qui rentrent dans un panier avec un reste à charge 0 euro pour le consommateur, c’est-à-dire un remboursement total de la Sécurité Sociale et de la mutuelle. 

Avec des prix moyens qui avoisinent 300€ pour un équipement de verres unifocaux, et près de 600€ pour des verres progressifs, bien voir était devenu un luxe pour les Français. Le taux de renoncement aux équipements optiques pour des raisons financières s’établit à 10,1% en moyenne, pour atteindre 17% chez les Français avec les revenus les plus faibles (Source : Ministère des Solidarités et de la Santé). 

Droit de Regard est une nouvelle enseigne d’optique qui fait le choix d’amplifier les effets de cette loi afin de permettre à un maximum de français, quelle que soit sa situation, d’accéder au meilleur de la santé visuelle. Contrairement aux marques concurrentes qui dissimulent leur offre légale 100% Santé - au profit d’équipements plus rentables et soumis à de nombreuses conditions - Droit de Regard fait de cette loi le cœur de son offre. Et ce, en proposant le meilleur du design et de la qualité en lunetterie, et le meilleur de la technologie des verres. 

Pour l’ouverture de ses deux premiers magasins (Lafayette et Marais), Droit de Regard signe ainsi une campagne qui vise à dénoncer les pratiques de ses concurrents. 

L’enseigne a proposé à des passants de tester leur vue en s’exerçant sur les affiches d’autres opticiens directement dans les rues de Paris. Ces publicités offrent les conditions parfaites pour réaliser un examen de la vue : des offres attractives en gros et des mentions légales en tout petit.  

On découvre dans une vidéo des hommes et des femmes qui lisent ces mentions avec difficulté. Au-delà de la complexité de l’exercice, les volontaires découvrent l’envers des offres : des offres « dites » gratuites et qui sont en fait soumises à beaucoup de conditions. 

Cette première prise de parole a été imaginée par l’agence BETC qui accompagnera l’enseigne dans sa communication pour les années à venir. 

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